Le CNLL pour une priorité au Logiciel Libre et aux standards ouverts dans l’éducation
Cette disposition rejoint pleinement trois des propositions publiées par le CNLL en octobre 2012 dans ses 10 propositions sur le Logiciel Libre et les standards ouverts.
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Obligation d’utiliser les standards ouverts, cette proposition correspond aux recommandations du Référentiel Général d’Interopérabilité (RGI) publié en 2009.
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Recommandation d’utiliser le Logiciel Libre, à coût global, risques et efficacité comparables, cette proposition a déjà été mise en œuvre, sous forme de Directive par le Ministère de la Défense en 2006.
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Recommandations relatives au libre dans l’éducation, celle-ci est la traduction d’une promesse écrite du candidat François Hollande dont voici la citation :
“Je souhaite que les logiciels libres de qualité, utilisant des formats ouverts normalisés, soient enseignés à l'école comme à l'université, et que leur usage soit privilégié dans les concours et examens, tant pour la bureautique que pour les usages scientifiques, techniques ou documentaires. L'enseignement de l'informatique devrait également privilégier les langages de programmation faisant l'objet d'une standardisation internationale, et les systèmes d'exploitation s'appuyant sur des standards ouverts." - François Hollande, avril 2012.
Le CNLL précise que "... contrairement aux affirmations d'organisations représentant le logiciel propriétaire, le caractère légal et légitime d'une préférence pour le logiciel libre dans le cadre d'un appel d'offres public a été validé à maintes reprises, avec en particulier l'appel d'offres Espaces Numériques de Travail de la Région Ile de France en 2008, ainsi que la décision du Conseil d'Etat de septembre 2011. Les caractéristiques de la licence des logiciels sont évidemment des critères de choix totalement objectifs, que le donneur d'ordre est libre d'exiger s'il le juge profitable et pertinent en référence à ses besoins et son contexte d'utilisation."
Et conclut : "c'est aussi une parfaite illustration de ce que les positions des acteurs du logiciel libre et open source ne peuvent être défendues que par les associations qui les représentent spécifiquement, c'est-à-dire par le CNLL au niveau national."
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